C’est effectivement une méthode assez inhabituelle de travailler, mais c’est celle avec laquelle je suis le plus confortable. Le fait de prendre parfois jusqu’à 2 heures pour une consultation me permet d’éviter d’être trop rapidement interrompu dans le travail qui est fait avec les personnes, d’autant plus lorsque l’on sait qu’il y a nécessairement quelques minutes perdues à chaque début de séance. Lorsque je parle d’interruption, ce que je veux dire, c’est que je ne veux pas que le fil d’un travail risque d’être coupé en plein milieu juste parce que l’horloge dit que c’est fini. J’aime prendre mon temps, ne rien précipiter pour ne rien négliger.

Le travail en psychogénéalogie et psychobiologie en particulier demande d’aller très en profondeur dans les histoires des personnes pour aller y dénicher les informations essentielles pour leur permettre d’avancer dans leurs vies, vers un réel mieux être et une libération. Il faut aussi considérer que toute séance demande qu’ensuite soit respecté un temps pour que toutes ces informations reposent et soient intégrées, ce qui explique aussi que je préconise un intervalle d’environ un mois entre chaque consultation. Ce mois est ce qui va permettre aux changements de s’installer, mais surtout c’est un temps nécessaire pour faire l’expérience de ce changement, pour vivre avec ces nouvelles manières d’appréhender et de sentir le monde autour de soi.

Je prends 1,5 heures justement parce que vous n’avez pas de temps, ni d’argent à perdre, c’est tout le principe de la thérapie brève, certes les séances sont parfois assez intenses, mais les avancées seront d’autant plus rapide et profondes.

Sébastien Cazaudehore

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